2
Jan
Comme vous manquez monsieur Chaplin
A ce vieux monde qui décline
J’aimais tellement l’être humain
Que vous affichiez dans vos films
Du Vagabond au Dictateur
Vous incarniez tous les visages
Parfois les rires tournaient en pleurs
Dépeignant l’Homme sans ombrage
Vous étiez danseur et poète
Vous aimiez les femmes et la vie
Pour moi vous étiez un prophète
D’un incomparable génie
Montrer de l’homme la bête et l’ange
Voilà pour moi votre grand art
Malheureusement cela dérange
La bête qui habite le pouvoir.